Le directeur général de la banque verte regrette la faible propension des entreprises à expliquer, notamment aux jeunes, leur utilité sociale et à laisser s’exprimer en leur sein les aptitudes de chacun.
Issu d’un milieu modeste, Philippe Brassac, après des études de mathématiques et de statistiques, a fait toute sa carrière au Crédit agricole. A la tête, depuis 2015, de la deuxième banque française, ce patron pragmatique s’inquiète de la déconnexion de plus en plus grande entre le monde de l’entreprise, marqué par un taylorisme managérial et une communication financière omniprésente, et la jeunesse, qui aspire à davantage d’autonomie et de responsabilité dans le champ professionnel.
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