Cinq semaines après le début du conflit, les banques commencent à dresser un premier bilan de l’impact de la guerre et des sanctions économiques. Les analystes revoient déjà leurs prévisions à la baisse, alors que la situation du crédit, les commissions de gestion ou encore le coût du risque seront certainement moins bons que prévu.

Cinq semaines après le début de la guerre en Ukraine, les banques commencent à revoir leurs perspectives. Lundi, la deuxième banque allemande Commerzbank a averti que le conflit et les risques géopolitiques qui l’accompagnent pourraient avoir des répercussions sur son activité et ses résultats.

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